Il y a à peine quelques décennies derrière nous, il était difficile de concevoir que l’informatique allait réellement exister et prendre autant de place dans nos vies. Cette dépendance à tellement évolué qu’il est difficile, voire impossible d’imaginer ce que nous ferions aujourd’hui sans nos ordinateurs et nos logiciels.
Depuis quelques années, nous vivons de grandes proliférations de nouvelles technologies qui évoluent à la vitesse de la lumière et qui affectent toutes les industries de la planète. Bon nombre de ces technologies se concurrencent entre elles et nous inondent. Les grandes entreprises comme Microsoft, Apple ou Google tirent dans tous les sens avec leurs applications. L’imagination et la créativité de l’homme n’ont vraiment pas de limite.
Devant l’étendue des possibilités, une entreprise peut être confrontée à faire des choix technologiques qui vont affecter de près ou de loin ses objectifs organisationnels. Des choix stratégiques sont donc souvent difficiles à faire, car en sachant qu’une orientation est choisie, cette dernière se doit d’être la bonne. Malgré tout, encore en 2012, beaucoup d’entreprises entretiennent des activités redondantes qui sont basées sur des technologies inefficaces, notamment le papier comme support de premier rang dans plusieurs de leurs processus internes. Plus vite ces entreprises vont accéder aux technologies de productivité, plus vite leur rentabilité et leur productivité en seront améliorées.
Prenons l’exemple d’une entreprise qui effectue des inspections de processus ou d’autres artéfacts. Souvent, celle-ci utilise le papier comme support afin de rédiger les rapports d’inspection. La compilation des données se fera en deuxième temps lorsque « l’inspecteur » retournera à son poste de travail pour y saisir une partie des données via une application informatique. On s’aperçoit ici qu’il y a en effet de la redondance dans le travail de l’inspecteur (double saisie) qui affecte les coûts par inspection (perte de rentabilité), sa disponibilité et que ses heures de travail pourraient servir à faire un plus grand nombre d’inspections (perte de productivité). Les risques d’erreurs et la compilation semi-manuelle des données affectent la qualité et la pertinence à long terme de l’information en général.
L’acquisition d’un logiciel permettant aux entreprises de faire leur travail d’inspection sur un support technologique, notamment à l’aide d’un ordinateur spécialisé, rendra leur travail plus productif et l’entreprise pourra traiter les informations avec beaucoup plus de flexibilité et de versatilité à long terme. Un logiciel qui supporte les inspections, à partir de la cueillette des données sur le terrain, est en mesure de valider les données saisies instantanément, évitant les erreurs ou les oublis. De plus, le transfert des données avec un système intégré et automatisé de synchronisation à une base de données centrale vient simplifier le travail d’inspection, éliminant ainsi la redondance de la saisie des données… et du papier!
Une entreprise qui veut croitre et garder le cap sur la rentabilité et la productivité doit, au préalable, considérer les enjeux informationnels à la base. C’est-à-dire qu’elle doit se questionner sur la capacité des technologies informatiques en place, afin de mesurer les impacts des changements organisationnels à effectuer et ainsi, évoluer efficacement en jonglant avec les possibilités technologiques qui lui sont offertes. Les stratégies d’affaires liées aux technologies informatiques peuvent donc être déterminantes et doivent être au cœur de la plupart des décisions et orientations d’une entreprise.